« L’Œil du chien qui hurle dans la nuit » / Dummy

Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"claire-jolin-photographer-11_IMG_3948Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"Claire Jolin - Série "L'Œil du chien qui hurle la nuit (suite)"

« C’est devenu une obsession, je veux comprendre ce monde derrière le monde. Le monde originel. Celui de nos pulsions, de l’inconscient, de nos racines enfouies ; Je cherche à faire affleurer ce qui nous est commun à nous les humains. Ce qui nous habite en profondeur : inquiétudes et fantasmagories, puissant signaux du passé, énergies vitales, essence animale… A la recherche du mythe fondateur, celui qui se déroule dans un temps primordial et lointain, un temps hors de l’histoire, un âge d’or, un temps de rêve. Un monde merveilleux où les dieux, les enfants-rois, les hommes-bêtes et les anges-démons se côtoient.

 

Dans cette nouvelle série, se mêlent photos argentiques et numériques, souvenirs issus des albums photo de mon enfance comme tableaux de grands maîtres. J’expérimente une nouvelle technique : j’expose mes pellicules plusieurs fois à la lumière. Je crée ainsi une distance entre l’image et la réalité pour que chacun puisse s’y projeter. Cet espace flotte entre la photo au mur et l’observateur. »

Claire Jolin, mars 2015